Part II – Solutions: Briser les solitudes

Avec un bref aperçu de l’histoire, nous ne pouvons pas nous contenter de nous plaindre du statu quo. Nous devons regarder vers des solutions courageuses et substantives. La question constitutionnelle n’a jamais été résolue ; le Québec n’a pas signé. Comme j’ai dit auparavant, nous devons reconnaître que le Québec constitue une société distincte. Leur système de droit civil et population majoritairement francophone établissent clairement cette réalité. Le Canada doit corrigé son passé, et reconnaître leur obligation fiduciaire envers le Québec, et qu’il doit prendre toutes les mesures nécessaires pour préserver la langue, culture, et histoire française. J’ajouterais des garanties similaires pour nos peuples aborigènes, et les francophones hors du Québec aussi.

Succinctement, nous devons « briser les solitudes », comme l’a dit le Gouverneur-Générale Michaelle Jean.

C’est le moins qu’on peut faire, car la langue, culture, et histoire française sont des parties intégrantes de NOTRE histoire, comme Canadiens. Sans Jacques Cartier, et Samuel de Champlain LE CANADA N’EXISTERAIT PAS ! Les souverainistes pense que le Québec est si distincte qu’elle est incompatible avec le reste du Canada, et donc doit être un état souverain et indépendant. Au contraire. Québec est bien sûr différent, mais cela est ce qui défini le Canada…les différences. Nous sommes une mosaïque culturelle, qui ont uni pour une grande expérience pour un but commun ; jusqu’à maintenant, nous avons survécu, développé, et prospéré ensemble, et ensemble nous continuons dans ce chemin.

Je sais ce que vous allez dire: “Oncle J, nous pouvons pas aller vers le chemin constitutionnel encore. Souvenez-vous de Meech Lake et Charlettown ? Tous des échecs.” Je dis: Marchons ensemble! Un pays est le plus au risque quand il a peur de parler de ça structure et union. À ce point, les problèmes qui existent sont balayés sous le tapis, et nous espérons et prions qu’ils ne font jamais exploser. En suite, un jour --- KA BOOM -- et nous sommes en trouble. Nous devons attaquer donc ces enjeux directement.

Les fédéralistes disent toujours qu’un vote “Oui” dans un futur referendum mènera à un « trou noir », et les Québécois ne sauraient pas comment en sortir. Bien que je sois peut être d’accord avec cette prémisse, avec tout respect, nous ne pouvons pas traiter les Québécois comme des idiots. Les tactiques de peur et des menaces comme celles-ci sont efficace seulement à court terme; nous ne pouvons pas prendre un résultat référendaire de « Non » pour acquis. Nous devons fournir des raisons substantives pourquoi le Québec est mieux placé dans un Canada uni. Des raisons comme l’économie politique, la défense, et le commerce international.

Nous avons besoin de quelque chose qui manque à Ottawa pour un long temps : le leadership. Nous devons apprendre de Trudeau et même Mulroney qui étaient si hardis de nous amener sur ce chemin; un avec succès, l’autre, pas vraiment, mais ils ont tout les deux créé des points de discussion qui peuvent nous aider. Nous devons bâtir sur ceux-ci.

Mes suggestions vont-elles radier la cause séparatiste? Probablement que non. Mais aideront-elles à assurer le futur de Canada, comme un pays fort, uni, et libre? Définitivement.